Le Service de santé au travail (SST) s’est récemment doté d’un nouveau logiciel. Meilleur suivi des aménagements de poste et de l’historique des visites médicales, traçabilité des risques professionnels perfectionnée… Le docteur Anne Jankowski, chef de service du SST, nous en dit plus sur les nombreux avantages du système.

« Une vraie modernisation ! » apprécie Anne Jankowski, chef du Service de santé au travail (SST) au sujet de Kitry. Ce logiciel de gestion adapté aux problématiques de la santé au travail a été installé en début d’année. « Accompagnés par la Direction informatique et le prestataire, nous apprenons au fil de l’eau à maîtriser ses diverses subtilités », poursuit Anne Jankowski. Une certitude, toutefois : « Cela va considérablement  simplifier notre travail auprès des 4 500 personnels de l'université ! »
Même si le SST est informatisé depuis 1998, « un certain nombre de nos activités administratives continuaient de se faire sur papier ». Le transfert des convocations et des fiches de visites aux agents, à leur hiérarchie et à la Direction des ressources humaines (DRH), ainsi que les informations RH nécessaires au suivi, ont été informatisés.
« Désormais, la synchronisation avec le logiciel de RH Harpège nous permet d’être directement informés des agents nouveaux entrants et des longs arrêts maladie (entraînant une visite médicale de reprise), des accidents du travail et maladies professionnelles et des départs des agents, grâce à un système d’alertes automatiques. » Un gain de temps indéniable pour les secrétaires, chargées d’envoyer les convocations. Ces alertes concernent également le suivi des aménagements de postes, préconisés suite à une visite médicale.
L’enjeu est donc de sensibiliser les responsables administratifs de composantes et les chefs de services à se saisir du nouveau dispositif pour une mise en œuvre concrète de la synergie qu’il permet. Un portail qui leur est réservé est accessible en ligne.

Secret médical

« Grâce à des questionnaires détaillés pré-remplis par les agents et affinés en consultation, nous allons également pouvoir établir une meilleure cartographie des expositions et risques professionnels, dans le but d’améliorer la prévention », se félicite Anne Jankowski. Une avancée pour l’établissement de statistiques, destinées notamment au bilan social et au Comité d’hygiène, de sécurité et des conditions de travail (CHSCT).
La responsable du SST tient toutefois à rassurer : « Le partage d’informations avec les RH ne concerne strictement que des données administratives. ». Et de rappeler : « Excepté en matière d’accidents du travail, le SST est tenu au secret médical ». Un secret d’autant mieux protégé que ces données médicales sont stockées par un hébergeur sécurisé agréé, en dehors de l’université.

E. C.

Sogo, l'interface de votre webmail et de votre agenda, évolue à partir du 29 mars pour intégrer de nouvelles fonctionnalités. Pour évaluer son nouveau design, la Direction informatique vous propose de le tester.

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Jusqu'au 14 avril, les bibliothèques de l’Université de Strasbourg recueillent l’avis des lecteurs sur l’accueil et les services qu’elles proposent.

Le questionnaire de satisfaction est court, moins de cinq minutes suffisent pour le remplir. Il est disponible en ligne et en version imprimée dans les bibliothèques de médecine et odontologie (BMO), du Pôle européen de gestion et d'économie (Pege), U2-U3, ainsi que dans la plupart des bibliothèques de l'université.
Y sont notamment évalués l’accueil, les horaires, l’accès aux collections, les services, la signalétique, les animations.
Cette enquête est lancée dans le cadre de la labellisation Marianne portée par l’Université de Strasbourg, initiée par l’État et applicable à l’ensemble des services publics. Elle vise à améliorer l’accueil des usagers, en présentiel ou à distance. Les bibliothèques s’en saisissent pour mieux répondre aux attentes de leurs lecteurs. Trois bibliothèques de l’Université de Strasbourg sont actuellement labellisées Marianne (U2-U3, Pege et BMO), d’autres structures du réseau devraient suivre en 2017.